Détection de fuites dans les réseaux d'eau souterrains à partir d’images RADar et InfraRouge RADIR
Détection de fuites dans les réseaux d’eau souterrains à partir d’images Radar et Infrarouge Page 18 sur 22 Lauréat de l’appel à projets 2023 Fondation FEREC « Infrastructures et gestion des eaux » (a) (b) (c) Figure 13 B-scans pour les tranchées : Tranchée 1(a) et Tranchée 2 (b). (c) Cavité dans la tranchée 1 Les états initiaux et finaux des B-scans sans fuite et après la fuite sont présentés dans les images en ajoutant des cadres jaune et bleu. La position du tube dans le B-scan est indiquée par un carré de ligne de points magenta. Elle est d'environ 27 ns sur l’axe du temps . Si l'on considère que la permittivité diélectrique du sable limoneux utilisé sur le terrain est d'environ 6, alors nous pouvons estimer la profondeur à environ 1,07 m, ce qui correspond à notre plan. L'évolution des B-scans dans la tranchée 1 est comparées de 20 ns à 40 ns. On constate qu'au début de la fuite (touchant une petite surface), les signaux proches de la zone ( à une distance d’environ 2,5 m) sont bien retardés. Les traces du tube deviennent discontinues dans les B-scans. Lorsque la fuite se propage, la trace du tube devient de moins en moins nette jusqu'à disparaître, du fait de l’atténuation des signaux. De plus, la présence d ’ une plus grande fuite a généré une cavité dans la tranchée 1, du fait d’un manque de résistance mécanique du carton sous la couche de sable. Dans ce cas-là, une cavité a
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