Optimisation et performance d’un procédé d’élimination des micropolluants
18 découlant (Le Monde, vendredi 23 septembre 2022, page 8, ENQUÊTE « Pesticides: de l’eau potable non conforme pour 20 % des Français », Techni - Cités 355, Août - Septembre 2022, page 12, « Micropolluants : la bombe à retardement ») . Pour ce travail d’optimisation, plusieurs pistes sont envisageables à différentes échelles : 1. Echelle Usine en fonctionnement • Études de bilans analytiques d’usines détaillés • Si absence de données, mise en place d’un suivi analytique poussé sur une usine avec performances identifiées à chaque étape du traitement, selon des conditions saisonnières et/ou climatiques spécifiques 2. Echelle « Paillasse » • Mise en place d’un pilote échelle paillasse et mise à l’épreuve avec des qualités d’eau différentes représentatives des variations saisonnières, et/ou en lien avec des évènements climatiques • Point à considérer : le changement d’échelle au niveau hydraulique • Objectif : purement performances 3. Echelle « semi-industrielle » • Adaptation du pilote 1 m 3 /h et mise en œuvre sur une usine. 3.7.2 Décisions Les suivis de fonctionnement en usines ne sont pas réalisables en raison de trop faibles concentrations de micropolluants . Afin de pouvoir optimiser le process, Sogea Environnement a décidé d’opter pour des essais en pilote à l’échelle paillasse avec les paramètres variables suivants à tester : pH, temps de contact, taux de recirculation, type de CAP. Le sujet de l’espacement entre les plaques dans le décanteur lamellaire a été écarté pour la suite du projet L’eau brute serait stockée en IBC de 1 m 3 pour un fonctionnement sur 2 à 3 jours, 10 heures par jour. Les débits de fonctionnement seront de 30 et 50 L/h. Ce point marque le commencement de l’étude portants sur les essais en laboratoire.
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